Ces trois clubs français qui ont mal démarré leur saison (2/3) : les Mets 92, une période post-Wemby difficile
En France, le basket-ball a repris ses droits depuis presque deux mois. Pourtant, certaines équipes n’ont toujours pas véritablement lancé leur saison. Entre les problèmes de blessures, les changements d’organisation et d’autres galères… On retrace le début de saison difficile des trois bonnets d’ânes du premier trimestre du basket français, édition 2023-2024.
On savait déjà qu’après la saison dernière, où les Mets comptaient Victor Wembanyama dans leurs rangs et ont atteint la finale du championnat de France, le retour à la normale allait être difficile. Mais cela fait désormais presque 6 mois que la gueule de bois dure, ça fait beaucoup là non ?
Boulogne-Levallois était pourtant sur le devant de la scène l’an passé, occupant les premières places du championnat avec Wemby mais aussi Bilal Coulibaly et le coach de l’équipe de France, Vincent Collet. On se souvient des salles remplies, des équipes extérieures qui vendent les maillots de Wembanyama dans leur boutique, et des caméras de la NBA venues retransmettre pour les américains les matchs du futur numéro 1 de la Draft. Mais tout ça semble déjà bien loin…
Car depuis, c’est la descente aux enfers : alors qu’il annonçait un budget de 6 à 6,5 millions d’euros et l’arrivée d’investisseurs américains, le club s’est vu refuser son entrée en Eurocup et a même failli mettre la clef sous la porte cet été ! Les investisseurs ont en effet annulé leur venue suite à la nouvelle, causant un déficit de près de 2 millions d’euros. Sur le plan sportif, ce n’est pas mieux : le directeur sportif Alain Weisz a pris sa retraite, le coach Vincent Collet est parti préparer les JO, et 13 des 14 joueurs de la saison dernière ont quitté le club !
Malgré quelques arrivées notables comme celles d’Axel Toupane, Dee Bost ou encore Matthieu Gauzin il y a un mois, l’enchaînement des mauvaises nouvelles est difficile à encaisser pour les Mets. Le tarif est (presque) le même que pour Gravelines : zéro victoire, pour huit défaites en huit rencontres, avec un écart moyen de 16 points. Une lueur d’espoir pour les Metropolitans s’ils remportent leur prochain match : une équipe a réussi, dans l’histoire, à se maintenir sportivement après un 0-8 en début de saison, c’était Bourg en 2000-2001. Les imiter pourrait être une manière de montrer que le club n’est pas mort et de relancer la machine ?
Ces trois clubs français qui ont mal démarré leur saison (2/3) : les Mets 92, une période post-Wemby difficile
En France, le basket-ball a repris ses droits depuis presque deux mois. Pourtant, certaines équipes n’ont toujours pas véritablement lancé leur saison. Entre les problèmes de blessures, les changements d’organisation et d’autres galères… On retrace le début de saison difficile des trois bonnets d’ânes du premier trimestre du basket français, édition 2023-2024.
On savait déjà qu’après la saison dernière, où les Mets comptaient Victor Wembanyama dans leurs rangs et ont atteint la finale du championnat de France, le retour à la normale allait être difficile. Mais cela fait désormais presque 6 mois que la gueule de bois dure, ça fait beaucoup là non ?
Boulogne-Levallois était pourtant sur le devant de la scène l’an passé, occupant les premières places du championnat avec Wemby mais aussi Bilal Coulibaly et le coach de l’équipe de France, Vincent Collet. On se souvient des salles remplies, des équipes extérieures qui vendent les maillots de Wembanyama dans leur boutique, et des caméras de la NBA venues retransmettre pour les américains les matchs du futur numéro 1 de la Draft. Mais tout ça semble déjà bien loin…
Car depuis, c’est la descente aux enfers : alors qu’il annonçait un budget de 6 à 6,5 millions d’euros et l’arrivée d’investisseurs américains, le club s’est vu refuser son entrée en Eurocup et a même failli mettre la clef sous la porte cet été ! Les investisseurs ont en effet annulé leur venue suite à la nouvelle, causant un déficit de près de 2 millions d’euros. Sur le plan sportif, ce n’est pas mieux : le directeur sportif Alain Weisz a pris sa retraite, le coach Vincent Collet est parti préparer les JO, et 13 des 14 joueurs de la saison dernière ont quitté le club !
Malgré quelques arrivées notables comme celles d’Axel Toupane, Dee Bost ou encore Matthieu Gauzin il y a un mois, l’enchaînement des mauvaises nouvelles est difficile à encaisser pour les Mets. Le tarif est (presque) le même que pour Gravelines : zéro victoire, pour huit défaites en huit rencontres, avec un écart moyen de 16 points. Une lueur d’espoir pour les Metropolitans s’ils remportent leur prochain match : une équipe a réussi, dans l’histoire, à se maintenir sportivement après un 0-8 en début de saison, c’était Bourg en 2000-2001. Les imiter pourrait être une manière de montrer que le club n’est pas mort et de relancer la machine ?
